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Sur le mot du "race"

Je vous explique sur le mot « race, ce terme n’est jamais tombé en désuétude dans la langue russe et ne suscite pas autant de polémique qu’en Europe. Les anthropologues, les paléontologues, les historiens continuent de se servir de ce mot dans leurs discours et ouvrages sans aucun risque d’être mal interprètes. La tradition d’utiliser ce mot « race » dans la traduction des textes du russe vers le français persiste, dont témoigne ce lien (un ouvrage sur la théologie):

Voir la proposition qui dit : « … la Russie n’a jamais constitué un group isolé et séparé de la « grande famille de la race humaine ») se trouve sur le site : CLIQUEZ ICI

Voici comment Ludmila définit le terne « race » (« paca » en caractères cyrilliques) dans son « dictionnaires des notions cosmiques du livre « Vocabulaire de la philosophie cosmique » » :

-race, (communément admis) – subdivisons de l’espèce « homo sapiens » qui se caractérise par ses particularités génétiques et physique communes. La distinction principale se fait par la couleur de la peau et quelques indices extérieurs.

Dans le même dictionnaire du livre « Vocabulaire de la philosophie cosmique », Ludmila propose également une définition « nouvelle » du mot « race » que voici :

-Une communauté humaine dotée d’une anatomie énergétique particulière créée par les Systèmes Cosmiques Supérieurs sur demande de Dieu pour une étape donnée de l’évolution. Toute la civilisation terrestre est une race ainsi appelée par les Supérieurs, la notion de la civilisation étant une création humaine. Plusieurs civilisations différentes du point de vue culturel et évolutionnel peuvent coexister sur la Terre en une période donnée. Tandis qu’il ne peut y avoir qu’une seule race sur les plans énergiques et fonctionnel.

Tout individuel appartenant à n’importe quelle race possède une structure éthérique spécifique qui est propre à telle ou telle race. Chaque nouvelle race produit des énergies dans les fréquences plus hautes que la précédente.

La composition de chaque race est liée aux couches fines de la Terre et fonctionne dans un cycle uni avec elles. Le passage d’une race à l’autre est induit par le passage de la planète sur une nouvelle orbitale. C’est exactement ce passage qui nécessite l’accumulation des énergies d’une qualité nouvelle dans les couches, ainsi que de nouvelle structures énergétiques, tant sur le plan humain que sur le plan planétaire. Les races sont les étapes de l’évolution de l’humanité.

Enfin, Ludmila appelle la « sixième race » une race d’or, celle dont l’apparition est attendue, conformément au passage de la planète Terre sur la sixième orbitale, un niveau d’évolution supérieur à celui de la race actuelle humaine. Selon Ludmila, la sixième sera constituée par les humains dotés de leurs capacités paranormales qui deviendront naturelles pour eux. Leur puissance énergétique spirituelle dépassera largement la nôtre.

Je comprends qu’un lecteur francophone puissent être interloqué par l’usage du mot « race » dans un textes de Ludmila, je le comprends naturellement grâce au contexte, c’est-à-dire en tant que « race humaine » et non tant qu’une des « races » dans le sens purement anthropologique du terme.

Dictionnaire :

Cinquième race : -désignation donnée du Haut à l’humanité qui évoluait jusqu’à l’an 2000. Cette désignation est due au passage de la Terre à la cinquième orbitale*.

Sixième race : -une nouvelle race humaine qui prend origine conventionnellement dès l’an 2000. La désignation se réfère au passage de l’humanité à la sixième orbitale étant un niveau supérieur par rapport à celui où se trouve notre cinquième race

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